la rencontre des arts [Pv Octavia]

Canterlot... Une ville magnifique étant dans les grandes montagnes. J'étais là, planté dans un bar, en train de boire paisiblement du cidre concentré. Je venais ici pour relaxer et apaiser mes douleurs musculaires, dont j'avais reçu auparavant. Tout semblait vide. Les tables, l'ambiance... Bref, c'était trop calme. Il y avait que moi et le serveur. Je pris une légère gorgée de mon cidre puis, en déposant mon verre sur ma table, je senti de plus en plus de douleur sur une de mes plaies. Arg... Je savais que j'avais pas dû m'occuper de son cas... Je n'arrive pas à croire que je suis pris ici, en congé de mes fonctions, et à pourrir dans cette taverne. J'enleva discrètement ma tunique puis deux cicatrices se fit voir, longeant verticalement tout le bas ventre vers le début du cou. C'était affreux. J'ai alors eu l'idée de prendre mon cidre puis le versa calmement sur la grande plaie, grimaçant de douleur. Je vida le reste de mon verre complètement sur cette plaie, puis après l'avoir déposé, je caressa cette blessure avec un morceau de tissu stérilisé pour désaffecter.

Après avoir passez quelques minutes pour refaire un bandage fait-maison, je remis ma tunique, couvrant toutes mes blessures désormais invisibles. Je me releva de ma table puis parti de la taverne d'un pas tremblant. Je voulais revenir à Crystal Empire auprès des miens pour poursuivre mes missions. Mais, depuis que Shining Armor était revenu de son voyage, j'ai moins de possibilités qu'avant... Cela me fait outrer.

À la sortie du bar, je m'approcha d'un petit parc bien jolie afin de m'y reposer avant de reprendre la route. Étant maintenant devant une fontaine avec la statue de la princesse du Soleil et de la princesse de la nuit, je baissa ma tête au niveau de l'eau puis regarda le reflet de ma personne. Je soupira légèrement en me regardant.

Ce n'est peut-être pas ma place... Crystal Empire était, autrefois, une ville si merveilleuse... Désormais.... je n'y suis plus utile... à se que je vois... Je devrais peut-être déserter de là...

Salut toi... Tu n'as pas l'air dans ton assiette... Je... je peux t'aider?

Je fus surpris de la voix puis, en me retournant, une petite pégase apparu devant mes yeux. Elle était d'un tel pelage rose, possédant des yeux d'un vert émeraude. Elle semblait encore d’être une enfant. Pourquoi venait-elle me voir? Pour me redonnez du moral? Je soupirais légèrement puis se mit dos à elle.

Désolé petite.... Je... je n'ai rien à dire...

Je parti en suivant un chemin menant vers une direction quelconque dans Canterlot. Ce que je ne savais pas, c'est que la petite pégase me suivi tout le reste de mon trajet.

Enfin c'est la nuit, et cela veut que trop bien dire le silence. Pour Octavia le silence est sacré, pendant chaque représentation elle le demande pour qu'elle puisse laisser la musique s'exprimer. Ce n'est qu'un aspect de la virtuose, tant chez elle rappelle les plus grands, tout en restant pourtant si différent. Laisser là ainsi, c'est la que se trouve tout ça beauté au clair de lune. La lune oui parlons-en, c'est un astre à la fois magnifique et plein de lumière, qui renvoie une facette de ce qu'est le soleil. Comme un instrument qui ne renvoie qu'une fraction de ce qu'est la musique. Elle donne l'inspiration pour beaucoup de personnes, y comprit la violoncelliste grise. Elle respecte cette boule géante dans le ciel de nuit autant qu'elle même, un bien étrange lubie en fin de compte. Mais c'est juste pour la remercier de ce qu'elle apporte au monde, une grande touche de beauté accompagnée des étoiles.

Enfin, son concert du jour était terminé, elle rentrait là elle voulait être. Et ce lieu c'était l'hôtel de grande classe ainsi alloué. On l'avait invitée à l'intérieur, gratuitement car c'était une artiste respectable. Satisfaite de l'endroit comme d'elle-même, ce soir elle allait jouer, encore et encore jusqu'à crouler de fatigue. Un plaisir quotidien dont elle était une addicte. Au moins serait-elle libérée du strass du précédent concert durant ce temps ou rien d'autre ne comptait qu'elle et le violoncelle. Un mouvement répété cent fois et plus encore, mais toujours aussi palpitant dans le coeur de la musicienne... juste magnifique et ce pour toujours.

Une avance lente et franche, sans peur de l'inconnu de la nuit. Dans un parc frais et esseulé parmi tant d'autres. Fichez lui la paix juste un instant, car se croyant seule elle dégaine ce qui la passionne, un instrument plein de grâce et d'une sonorité divine. Faites donc silence et écoutez, si vous n'avez pas peur de perturber la chant du violoncelle venant d'entre les arbres. Pattes sur le sol, herbe fraîche sous les sabots. Les deux autres tenant la corde et l'archet. Vérification du cordage et du réglage , acoustique prête comme la musicienne. Un son, une envolée, écoutez bien tant que vous le pouvez...

Étant désormais perdu dans l'inconnu, je continuais de marcher, cherchant un lieu où je pourrais relaxer et prendre du repos. Je m'approchais vers un panneau indiquant les lieux importants de la ville pour les touristes de nouveau genre. Bordel! Pas de chance pour moi! Aucun taverne... Je vais être obligé de passer cette nuit sous la lune... Bon... Comme j'avais l'habitude de ne pas dormir sur du confortable, je parti à la recherche d'un parc ayant un banc avec une possibilité de dormir dessus.

En reprenant ma marche, je revis la petite pégase qui semblait s'intéresser à moi. Elle n’arrêta pas de me suivre. Pourquoi me suit-elle? Une espionne? Non... je ne le sens pas trop. Bon... J'ai seulement le besoin de partir d'elle puis trouver un parc. Je parti donc en direction du parc ayant été le mieux noté. Quel joli parc d'ailleurs! Pendant que j'admirais le parc à mes alentours et de son paysage, un son venait me flatter les oreilles. Une très douce mélodie que j'entendis jaillir du parc... Ah non... Assise sur un banc, elle était là, à deux ou trois mètres de moi. D'une couleur gris poudre et d'une crinière si bien coiffée. Retournant sur terre, je m'approcha de celle-ci, jouant toujours de son instrument à corde.

Bonjour à vous... Mademoiselle... Désolé pour le ... le dérangement. Je ... je peux m’asseoir ici? C'est le seul banc de disponible... et....

Je lui fis un léger sourire puis je me grattais la crinière.

J'aimerais continuer à écouter votre douce et tendre musique. D'une telle beauté ma tant attiré ici... Accepteriez-vous?

Je resta debout à ses cotés, attendant une réponse amicale.

Seule, enfin seule pendant un instant, un moment privilégié entre l'artiste et son instrument. Tout est présent pour qu'elle se donne à fond, l'atmosphère est presque parfaite, l'endroit frais, la lune levée source de si nombreuse musique telle celle jouée juste avant et surtout cette solitude éphémère qu'elle apprécie tant lors de ses concerts solitaires. Un sourire sur ses lèvres se dessina rapidement au fil des notes dansantes sous la corde de l'archet. Une émotion presque aux larmes, signe de son bonheur qu'elle exultait, puis la fin de l'air enchanteur, elle garda cette expression un moment, satisfaite d'elle et de sa musique.

Octavia allait reprendre, jouer autre chose, mais ne savait pas encore quoi, faut-il encore qu'elle trouve un morceau qui lui plaît, ou alors elle pourra toujours improviser comme elle le fait parfois. Mais alors que enfin elle avait trouvée, une voix vint l'interrompre. Masculine et forte, mais cherchant toutefois à ne pas trop déranger. Elle était presque timide, comme si un poney rencontrait une déesse au clair de lune,. Pourtant Octavia n'a pas vraiment une prestance énorme, elle est même plutôt discrète dans la vie de tout les jours, ce n'est que sur scène qu'elle se met à briller de milles feux, enjôlant les oreilles de ceux qui l'écoute.

Ouvrant les yeux pour apercevoir celui qui avait parlé, elle interrompit son geste. C'était une licorne au crin noir et rouge, possédant un pelage d'un gris bien plus sombre encore de celui de la violoncelliste. Des yeux verrons également la regardait directement d'un air à la fois intimidé et intéressé, se demandant sans doutes ce qu'elle faisait là seule à jouer de son instrument. Un tic nerveux, il n'était pas très à l'aise ici, sa gestuelle le pouvait maintes et maintes fois. Il lança d'un sourire son désir, il voulait juste un peu de repos tout comme elle et éventuellement l'écouter d'avantage.

Octavia leva son sabot pour l'apposer sur la bouche de l'inconnu, il pouvait rester s'il le voulait, mais elle souhaitait le silence le plus absolu, qu'il s'installe ou il en a envie. Il avait dit beauté, c'est cela qui à décidé l'artiste à lui permettre de rester ici. S'il voyait là musique comme elle, il pouvait bien rester un peu non? Sans dire un mot, elle reprit tout dans ses pattes, parée pour un second accord qui si elle le voulait serait sans fin.

Étant passionné par sa douce et tendre mélodie, je m'assis à ses cotés, gardant, tout au long de sa représentation, le silence. Ce son... Il était... spécial... Tellement doux à mes oreilles. Comment faisait-elle? De la magie? Non... tout simplement avec ce violoncelle. Il semblait en parfaite état. Je souris légèrement à la tendre musicienne du morceau qu'elle fit joué puis regarda la lune, étant très haut dans l'univers. Des moments de repos comme celui-là, j'en avais rarement. Surtout depuis que j'ai rejoint les forces de la princesse de l'amour. Toujours chargé de faire les tâches ingrates. Bon... c'est normal... Après tout ce que j'ai fait à Équestria... Il fallait bien que je fasse des trucs pour me faire apprécier...

Ce n'est pas tout les jours que j'arrive à apprécier un talent d'une artiste non plus. Elle était sublime dans son talent. Totalement merveilleux. J'attendis jusqu'à la fin de son numéro afin de vouloir prendre la parole. J'hésitais par quoi y commencer.  Je laissa donc le temps prendre charge puis garda le silence, fermant les yeux et appréciant la douce mélodie envahir mes oreilles.

Elle était encore ici, ou plutôt bien loin de tout cela. Perdue dans un monde qu'elle connaissait par cœur avec le temps, un monde ou seule la voluptée de ces gestes comptait, un monde de sons ou la vue est musique, ou les sentiments sont notes et les sensations des mélodies. Un endroit ou tout est parfait, et ou elle seule peut vous transporter avec un simple instrument. Le violoncelle est la clef qui ouvre ce passage et elle en est la guardienne depuis toujours. Pourtant toute chose à une fin, c'est aussi le cas de ce passage vers se monde enchanté. Une fois terminée, un air de musique ne peut que s'arrêter à moins d'être reprit depuis le début. Mais ce n'est pas ce qu'elle veut, rejouer la même mélodie est sans intérêt si tout le monde ici présent là déjà écouté. C'est son cas, et ce n'est pas ce qu'elle veut...

Enfin, elle ouvre de nouveau les yeux, retrouvant la vue et cette sensation que de redécouvrir le monde autrement. Son regard tourne, lentement d'une manière douce, regardant arbres, herbes, nuit, lune, tant et tant de choses que la musique peut elle aussi décrire. Finalement, son regard fini part tomber sur lui, cette licorne qui était toujours là. Il n'état pas partit, il avait prit le temps d'écouter ce qu'elle voulait jouer encore et encore.

- Vous êtes encore là ?

Elle s'était donc trouvée un public alors qu'elle jouait en solitaire. Sans même le vouloir elle attirait du monde, enfin pas tant elle, mais plutôt la musique qu'elle jouait jusqu'à l'épuisement. Elle avait parlé sans la moindre émotion, trop de sentiment auparavant venait comme de la tuer intérieurement, c'est toujours le cas après chaque récital ou son coeur bat si fort qu'elle devient incapable de ressentir quelque chose par la suite. Pour le moment, elle se demandait pourquoi un individu restait là encore et encore. Qu'il reste s'il en a envie, mais pour le moment elle est à l'arrêt, elle se repose sinon elle continuera jusqu'au bout, c'est peut-être une corvée, mais elle doit bien un jour rentrer à l'hôtel...

En ce moment elle était en sueur, le froid omniprésent ce soir allait vite sécher tout ça et elle allait avoir froid. Ne pas tomber malade pour continuer de jouer de la musique, elle est Octavia, violoncelliste de génie, mais pour elle tout ce qui importe c'est de continuer encore et toujours... de jouer.

Écoutant le jolie son, j'apprécia la douce musique entrant dans mes oreilles. Je ne bougeais plus jusqu'au moment où elle décida de halter sa musique. J'ouvris légèrement les yeux et la regarda droit dans les yeux. Je vis des étoiles dans ses yeux tout doux. Je remarqua assez rapidement les reflets dans ses yeux de la plateforme au-dessus de nous.

Oui... et.... je compte rester... Mais... Vous.... vous êtes très douée.

Arrêtant de parler, je senti un léger vent froid nous frapper. Comme je ne voulais pas qu'elle parte. J'enleva ma grande robe, protégeant contre le froid, puis je la couvrais avec cela. Désormais sans habit, toutes mes cicatrices semblaient visibles. Je les avais complètement oublier puis je souris légèrement à la gentille dame.

Tenez... Cela vous garderas au chaud... Je ne veux point que vous attrapiez un rhume.

Finissant de la couvrir, je regarda le ciel en réfléchissant sur mes derniers pas dans la forêt Everfree...

Le public n'était pas étrange, plutôt normal, voir même fade mais fasciné. Certains avait ce regard à la fin de chacun de ses concerts, il en faisait partie. Les yeux pétillant et plein d'émerveillement même un fois la musique terminée depuis de longues minutes sous un grand silence. Le silence aussi est une symphonie de bien-être parfois, il faut toujours apprendre à l'apprécier à sa juste valeur. C'est d'ailleurs pourquoi elle ne répondit pas tout de suite, profitant un instant du vent et de la douce volupté de la fatigue de la soirée.

La température à baissée, et un air frais ne peut que rendre malade si l'on ne fait rien. Mais lui qui est son seul public en cet instant, pourquoi lui offre t-il son manteau. Elle comprend, il ne veut pas qu'elle attrape la mort avec ce froid qui commence lentement à se faire mordant. C'est... gentil de sa part, dommage que cela ne dévoile qu'un corps meurtri et marqué derrière cette gentillesse. Il a du vivre beaucoup de choses lui aussi, mais l'expérience n'est pas la même, elle vit de passion et qu'en est-il pour cette licorne noire?

"- Et bien... merci..."

Elle ne savait pas trop quoi dire d'autre, ou plutôt son mental ne suivait pas, la fatigue se faisant vraiment sentir désormais, il va donc falloir qu'elle rentre elle aussi comme tout ceux qu'elle avait croisée dans les rue de Canterlot pour venir ici. C'était un Canterlois? Il parlait avec cette même envie de paraître classe que les autres, ici c'est une manie générique que l'on est obligé de respecter pour bien être vu, si Octavia si pliait, c'est pas pure nécessitée, à Ponyville jamais elle ne parlerait comme cela.

Il voulait peut-être encore écouter ces notes et accords, mais elle ne le pouvait plus, c'est pourquoi avec la plus grande des précautions elle rangea son violoncelle dans son étui. La fatigue se lisait facilement sur son visage et elle devait rentrer chez elle dès demain. Sa collègue PON3 serait déçue si elle n'était pas à l'heure et puis jamais elle ne se le permettrait en tant que personne avec de bonne manières.

Toujours dans mes pensées, le ciel éclairait très peu sur le parc. Il devait se faire très froid. Mais moi, j'étais habitué à ce genre de vent glacial. Toundra Gelée était l'une des plus dangereuses d'ailleurs. Tout ce parcours dans ces plaines fût, pour moi, une étape tant difficile à supporter. Surtout après se que les cristallins m'ont fait. Je ne l'acceptais pas. Je vous en garantie, très chère conscience, que je me vengerais. Mais avant, ne faisant que réfléchir à cela. La jolie dame à mes cotés semblait avoir très peu de parole. Une artiste quoi... La plupart sont comme cela. Elle exprimait  sa musique. Elle parlait avec du son. Une grande artiste. Moi aussi d'ailleurs je suis un artiste. Bien sûr! Héhéhé. Je ferma les yeux puis me mit à semi-rêver. Plusieurs arts combinés ensembles mené le chaos. Cela serait excitant pour moi. Un tout nouvel oeuvre à écrire. À écrire? Bien sûr que non... Il l'est déjà écrit... Hihihi.... Mais...des acteurs... C'est pas facile d'en trouver. Je soupirais légèrement en ne regardant pas la jument à mes cotés. Restant social, je lui relance la conversation.

Hum... Je me présente... Médiafire... Mais... Appelez-moi Média... C'est mieux ainsi... Et.... et vous mademoiselle? Quel est votre nom?

Un son ne sera jamais égal à la mélodie du silence. C'est apaisant aussi bien pour l'âme que pour le corps. Et combinée à la fatigue, cela conduisait à une sensation délicieuse proche de la paix intérieure. Bien sur, ce n'est qu'une lubie pour elle, Octavia est l'une des seules personnes à ressentir cela ainsi, la passion qui la possède comme un diable au corps lui donnant cette envie. Elle est une artiste avec ses désirs et ses passions, ce genre de moment calme était parmi ses préférées.

Une voix porte un message, venant de lui à coté d'elle. Les premières salutations venant de sa part, se permettant même au passage de lui réduire sont nom à un simple mot familiarisé. Puis il demande le sien à la belle. Remarque logique, venant d'un être qui semblait on ne peut plus normal, mais que devait-elle faire en fin de compte? Répondre franchement et dire son nom au premier venu? Elle hésitait toujours à le faire, de part sa popularité toujours croissante. Tomber sur un fan qui peut la reconnaître peu être bénéfique, mais certains autres pouvaient se montrer insistant au possible et elle qui aimait le calme, ce n'était pas son genre de personnes favorites.

"-Je... suis... Octavia, heureuse de vous rencontrez Médiafire."

Elle l'avait tout de même dit, son véritable nom. Sa droiture exemplaire lui imposait de ne pas mentir sur de nombreux points. Si le comportement de cette jument semblai noble, elle essayait de même de rester pure quand le mensonge était omniprésent. S'exprimant de part son instrument plus que par des mots, sa logique reste mystérieuse quand on ne la connait que peu.

Que dire d'autre ou bien plutôt que faire? Elle l'ignorait, on ne lui a pas donner comme talent la faculté de répondre à tout. La musique c'était cela son seul et unique but, et une seule personne en ce monde pouvait la comprendre, sa chère colocataire.

"- Et vous, pourquoi êtes vous perdu dans ces rues à cette heure?"

Elle avait ses raisons, mais elle était curieuse de celui qui n'avait pas hésité a venir à la rencontre d'elle. Suivant sa mélodie, peut-être un amateur lui aussi? Dans tout les cas elle s'en fichait bien en fait, pour n'importe que le son et la musique!

Je souriais légèrement à l'idée de connaitre son nom. Octavia. Quel nom à l'état de la douceur. J'étais impressionné par son attitude face à moi. Moi qui était un ancien criminel hautement réputé pour mes films glauques. J'en fus surpris puis je regardais toujours le ciel. À se que je vois, elle semble de ne pas avoir été au courant de mon cas... Je soupirais légèrement, puis voila qu'elle me posa une question sur ma venue. Je ferma les yeux quelques secondes afin de les rouvrir puis de dire se que j'avais besoin de dire dans le calme.

Je.... je viens tout juste de...*soupire* de me faire mettre à la porte du Crystal Empire... Mes talents de cinéma ne les a pas trop convaincu que je puisse pardonner mes erreurs du passé...

Je me releva du banc en ayant l'air désolé.

Pardonnez-moi.... je.... je ne tenais pas à en parler... Je.... vais filer....

Sur ce commentaire, il se retourna dos à Octavia, puis parti en marche.

Elle ne savait pas trop que dire ou que faire face à cette personne qui de moins en moins lui semblait inconnue. Médiafire, un nom tout aussi étrange que le personnage, mais elle se disait que cela lui correspondait bien. Du moins il était amical, voir même assez poli envers elle, la musique avait aussi transportée son âme? Elle le faisait bien pour Octavia alors pourquoi pas pour un autre.

Il s'était donc fait jeté dehors par quelque chose, mais vaut mieux ne pas questionner là-dessus, ce serait impoli de la part de la terrestre.

"- Et comment le fait que vous soyez acteur arrangera les choses? A moi que ces derniers concerne votre carrière, je vois mal le rapport entre les deux..."

Lui tournant le dos, il semblait repartir, mais déjà? Ils venaient à peine de faire connaissance, il sera dommage de ne pas continuer un peu, puis surtout qu'il serait rustre de ne pas au moins lui souhaiter un petit au revoir.

Continuant ma marche, je baissa les oreilles, la tête basse, en direction de la sortie du parc. J'avais peut-être un peu froid, dû au petit vent, mais je lui laissais cette habit. J'irais m'en acheter une autre une prochaine fois. Maintenant, direction taverne. Lorsque je sortis du parc, je vis la petite jument s'interposer sur mon chemin. Elle semblait déterminée, due à son air qui semblait vouloir dire "parler". Je tentais de la contourner, mais sans la blessée, je n'arrivais pas à passer. Je recula un peu et soupira.

Qu'est-ce que vous me voulez? Il se fait tard.... C'est l'heure.... c'est l'heure que vous retrouviez vos parents... Ils doivent être morts d'inquiétudes...

Elle resta fixe puis baissa sa tête par la suite. Je remarqua donc que cette petite jument versait quelques larmes. Elle ne semblait pas bien allée. Je soupirais une seconde fois et resta à ma place, histoire de ne pas l'effrayer.

Eum... J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas?

Elle s'approcha de moi en pleurant puis se colla contre mes pattes. Je fis un petit rougissement, ne comprenant pas pourquoi. Je la laissais faire puis je réfléchissais. Soudain, une idée me vint par l'esprit.

Tes parents.... sont... .sont-ils présent? ici? Ou.... ils sont parti?

La ponette continua ses pleures, puis ne comprenant pas se qu'elle dit, elle se mit à éternuer sur mon pelage. Je ne savais pas quoi faire... Je stressais, espérant qu'un poney ou une jument vienne m'aider. Je suis pas doué avec les enfants.

Il était déjà loin... reparti sans même un au-revoir. La renontre c'était déroulée on ne peu plus mieux, mais quel dommage de s'en aller sans dire le moindre mot ou faire le plus petit des signe d'adieux. C'est en cela qu'elle était déçue pour l'étrange Médiafire au nom si chantant. Elle se disait alors... soit passons... Elle aussi allait devoir rentrée chez elle, ou plutôt à l'hôtel en cette heure tardive. Tout était déjà prêt pour cela, l'instrument rangé dans sa house, déjà prête pour le départ sans jamais être décoiffée un seul instant malgré un léger vent.

Toutefois, elle ne voulait pas d'un tel adieu. Une rencontre ne peut pas finir comme cela selon elle, c'est une chose bien cruelle que la licorne lui fait ainsi. Tristesse est désormais son état d'esprit, et ces larmes qui coulent lentement sur son coeur l'inspire une nouvelle fois. Rien n'arrête sa mélodie qui naît une fois de plus dans le centre de son corps, la musique par des sentiments et les sentiments viennent du coeur, c'est pour cela que chaque note est unique avec elle, car elle si consacre corps et âme.

Déballant son paquetage qu'elle venait de ranger plus tôt. L'artiste sentait également la lourdeur présente dans l'air, comme si ses pleurs étaient perpétrés par une personne au loin. Un chant... non, un air lui monte dans le crâne mut par une irrésistible envie de jouer de nouveau pour accompagner ce sentiment fort et douloureux.

Ne savant toujours pas quoi faire, je recula légèrement, étant sous le stress. Je suis entouré de ce destin qui tente de me faire échouer jour après jour. Cet enfant a l'air d'être triste à l'idée que c'est parent ne sont plus dans le monde des vivants. Étrangement, j'avais une question.... Une question qui pourrait bien se retourner contre moi.


Hum.... Tu as le droit de ne pas y répondre... mais.... ton... ton père.... faisait-il parti de la garde royal du Crystal Empire?

La ponette me regardait d'un air interrogateur, comme si elle était surprise de ma question.

Oui.... *snif* Mon papa y était.... Mais.... mais pourquoi? Pourquoi le sais-tu???

Je baissa la tête légèrement, semblant honteux, puis ferma les yeux doucement.

J'y travaillais aussi... Je connaissais ton père... C'était un brave étalon... C'était un ami.... mon ami.... Puis.... d'un jour au lendemain... J'étais revenu à Crystal Empire pour donner mon rapport à la prncesse... j'ai dû attendre à l'extérieur de la salle du trone.... Et c'est là que ton.... ton père sorti sa lame, puis me la planta dans ma patte... J'ai tenté de me défendre, voyant les autres gardes arrivés... Ton père.... était au sol... mourant.... Je n'ai jamais sû ce qu'il s'était passé... Mais on a accusé la victime... Moi... Encore une fois...... Maintenant....*lui donne 10 Bits* Tiens... Je te conseille de passer a l'auberge pour dormir ce soir.... Tu auras besoin de repos... Demain... tu iras au chateau, demander a trouver une famille..... Je suis sûr que les princesses pourront t'aider.... J'en suis sûr...


Au même moment, je me rappellais de la courte conversation avec la jument dans le parc. Mon départ assez décevant... Je... Je ne lui ai même pas dit aurevoir... Putin.... Et... Je dois voir si elle est toujours dans ce parc. Je parti a courir en direction du parc, laissant la jument s'occuper d'elle même.

S'approchant du parc, je la vis en train de sortir son instrument. Son visage semblait triste. Visiblement, elle était pas très heureuse de mon départ. Je m'approcha d'elle légèrement puis baissa la tête, fermant les yeux encore, puis posa un genou au sol pour la saluer.

Mademoiselle Octavia....Je.... je suis désolé....

Le temps du silence, là oui même l'artiste s'arrête de jouer pour laisser place à cette mélodie connue par tous. Elle est apaisante pour la violoncelliste qui se tiens désormais seule au milieu de ce parc, elle parvient peu à peu à calmer la tristesse d'Octavia qui dépitée à même suspendu son archet. L'on voit facilement que l'artiste est triste, uniquement de par le manque de mélodie qui parcoure ce lieu. Heureuse, elle jouera à en perdre son âme, dansante avec son instrument jusqu'à sa fin ou lorsqu'elle ne sera plus en état de tenir le corps ou l'archet. Sans cela, rien ne pourra l'en empêcher si elle le désire encore, mais en tant qu'artiste, son oeuvre n'a pas de fin.

Elle avait fermée les yeux, pour empêcher les larmes de couler silencieusement sur ces joues. Comment faire quand la passion ne suffit plus à combler cet étrange vide qui lui envahi le coeur? Elle ne savait pas... Elle songeait à retrer, à oublier cette étrange licorne sympathique, mais au moment ou elle ouvrit de nouveau les yeux, elle le vit de nouveau, dans une posture suppliante lui demandant pardon. Cela la fit rire, de le retrouver ainsi en train de faire le pitre au milieu de l'herbe.

"- Allons... allons tout est pardonné, je ne peux en vouloir à une personne aussi sincère.

Elle attendit que son amusement disparaisse avant de reprendre de nouveau. D'un ton un peu plus sérieux et sévère elle le fixe sans grande méchanceté dans les yeux, juste quelques reproches.

"- Vous ne m'avez même pas dit au revoir..."

Même après mes actes si impoli, elle semblait toujours contente de ma présence. peut-être lui ai-je marqué dans son esprit? Je me releva légèrement puis entendit la petite reproche que je m'attendais de recevoir. Et oui, je l'ai mérité celle là. Je ne peux la répliquer. Elle était vraie! Je me rassis à ses cotés puis la regarde dans les yeux sincèrement.

Pardonnez-moi de mes derniers gestes... C'est que.... il y a quelques temps..... j'ai été.... trahi.... par ceux que j'appréciais.. et que..... à la fin.... j'étais sûr que vous me vouliez du mal.... Alors que ... c'est faux....

Je pris un moment de pause en soupirant puis reprit mes propos.

Étant déjà été manipulé par une communauté qui semblait, pour moi la meilleure, je l'ai ai quitté.... avec une mise à mort contre moi... Eux qu'ils croient que c'est moi qui a commis ce meurtre.... Comme si j'avais que cela à faire... Je n'aurai jamais été capable de le faire.... Je suis un réalisateur de film moi..... Pas un criminel..... Et me voila....paumé dans cette nouvelle vie.... Criminel sous manque de preuve valide...

Je baissa la tête légèrement puis ferma les yeux, espérant qu'elle ne fasse pas les actes que je pense en ce moment....

Son regard dansant lentement sous le regard attentif de la lune qu'elle contemplait un instant. Octavia écouta chaque moi d'excuse de la licorne avec attention, arrêtant même de penser à sa musique pour changer un peu et vraiment ce concentrer sur la choses. Elle écouta également les peines de son coeur, son aventure aux limites sinistres qui le pourchassait encore et encore dans une folle course-poursuite.

C'était une triste nouvelle que d'apprendre tout cela, mais encore plus pour le concerné. Comment pouvait-elle savoir ce qu'il traversait réellement alors que elle-même n'avait jamais connu cela. Mais que faire pour un étalon qui avait de tels problèmes? elle ne pouvait pas l'aider n'étant pas dans le même camp qui lui à la base. Elle ignorait tout de cette affaire, mais ferait tout de même quelque chose pour lui.

"- Et bien dans ce cas précis si tel est bien la vérité, qu'est-ce qui vous empêche d'y retourner pour trouver des preuves tangibles de votre innocence. Je pense que vous ne mentez pas et que vous êtes une bonne personne Médiafire. Vous manquer de politesse mais ce n'est pas bien important dans ce genre d'affaires. Je vous souhaite bien du courage pour démêlé ce noeud énigmatique."

L'écoutant parlée, je garda la tête baissée. Je savais plus trop quoi répondre. Elle me souhaitais gentiment du courage pour me remonter le moral. Je croisa mon regard triste dans les siens puis fit un soupirement.

Le.... le problème.... c'est que... La preuve...est...est morte.... *soupire une autre fois* Cette preuve a tenté de me tuer, puis elle s'est suicidé... pensant de m'avoir eu. J'ai beau a leur avoir expliqué, ils ont tenté de me capturer, et de me mettre en tole... Pour cela.... Moi.... qui n'a rien fait de cela... J'avais fait une démarche pour retourner avec la civilisation suite aux événements qui m'ont fait de moi, un grand criminel. Pourtant.... J'ai été en prison pour cela.... et j'en suis sortie... grace à Cadance.... Moi qui pensait qu'elle m'aidait....Elle m'a ruiné... Je suis banni des miens...  

La rage commençait à se répandre en moi, peu à peu. Je recula d'un brusque geste, prenant une roche près de moi, la lança au bout de mon sabot, puis me calmant tranquillement.

Je.... je voulais seulement aider....

Fermant les yeux, je versa de petites larmes, tremblant de peur.

C'est lorsque l'on apprend ce qu'est la vérité véritable de la chose qu'un espoir s'éteint silencieusement, ne se voyant que sur le visage dépité du personnage. Lui qui était rejeté par les siens, emprisonné puis trahi par une personne en laquelle elle avait confiance. Sa tristesse et son désarroi étant suffisant pour qu'au final ne reste plus que les larmes sur ses joues. Et au comble de sa tristesse il était prit de frissons de peur soudain, la musicienne ne savait comment apaiser une âme si perturbée par sa vie.

Elle n'était pas douée pour le contact physique, pour elle ce n'était que de l'eau chaude qui coulait lentement sur son sabot lorsqu'il s'apposa délicatement sur le visage du l'étalon en pleurs. C'est tout ce qu'elle pouvait tirer d'un tel contact. Alors encore une fois puisqu'il le fait, elle fit ce qu'elle fait de mieux en ce bas monde. Posant de nouveau son archet sur les cordes en le tenant d'un sabot glissant et humide. Le contact allait se faire autrement puisque elle était incapable de s'exprimer correctement.

"- Ecoutez juste un instant, la musique apaise les colères et soulage les peines, c'est la seule chose que je puisse vous offrir... vous m'en voyez désolée..."

La regarder jouer de son instrument était tout à fait reposant. Comment une musique peut-elle changer l'humeur d'un malheureux? Quelques minutes auparavant, je semblais vider en moi, et là, je souriais du a la douce et sensuelle mélodie qui envahie mon esprit de tristesse, l'échangeant dans le calme pour que je fasse paix avec moi-même. Je me releva afin de m'étendre sur le sol afin de lui laisser le banc à elle seul lors de sa prestation. C'est en ce moment que j'eus une idée! Je sorti un vieux grimoire remplit de sort écrit à l'intérieur. Je pris quelques temps à lire afin de tenter un sort pour l'impressionner.

Un peu de lumière ne nous fera pas de mal...

Je referma le bouquin et me releva tranquillement afin de lui faire un sourire et il regarde une  roche qui semblait rester fixe au sol. Je me suis donc placer devant cette roche puis ma corne jaillit d'une lueur rouge, ressentit un peu la magie en lui couler dans ses veines puis ferma les yeux, espérant d'avoir réussi mon coup.

LUMIÈRE!!!!

Dé:

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'Concentration (sort)' : 16

Au moins est-ce là tout ce que la belle souhaitait faire de sa musique en cet instant. Calmer une âme, c'est peut-être une sorte d'échange. De simples notes contre une émotion qui disparaît, est-ce comme cela que les choses marchent en ce bas monde? Tout du moins elle s'en fichait éperdument, car pour elle seule comptait la musique de l'instant présent qui parvenait à assécher ce flot de larmes du passé. Peu de gens connaissent le pouvoir de la musique, ce qui pour l'artiste est bien dommage. La musique est émotion, la musique est calme, la musique est tout, la musique n'est rien. Car la musique est un miroir qui reflète bien des choses, les actes, les batailles, les lieux et même les émotions, voilà, la musique est tout cela à la fois, mais surtout elle est une dernière chose encore plus importante, elle est libre.

Et comme poue l'accompagner, la licorne lança un sort de lumière qui enchanta le lieu. Tant et si bien que la beauté de l'acte la fit s'arrêter un instant, elle ne dit mot, car elle semblait émue. Puis qu'un coup elle se remit à jouer encore et encore, ce que sa vue lui apportait elle le transmettait à l'instrument , ne faisant alors qu'une étrange improvisation directement aux oreilles de la licorne.


Tout cela était si étrange, elle se voulait à la fois tenace et inventive pour faire face à l'étranger qui doucement devenait un ami. Ne pas perdre la face dans ce concours de belles choses, auditives ou visuelles.

Ayant réussi mon sort, une lumière grandiose apparut puis illumina tous le parc en entier. C'était merveilleux. Sur cette réussite, la grande talentueuse violoniste continua de jouer sa musique au rythme de "je sais pas quoi". Je n'y mis connais pas trop, mais tout se que sais, c'est qu'elle peut me détendre. Je m'approcha de la fontaine de ce parc puis je jetai mon regard sous l'eau de celle-ci afin d'apercevoir mon reflet. Un reflet identique à ma personne. Je soupira légèrement en fermant les yeux, puis baissant la tête.

Musique....Douce musique....Ou....ou pourrais-je me diriger? Je.... je ne suis plus Crystallin.... mais.... je veux me sentir...comme étant utile...Je veux aider... le citoyens... les princesses... et surtout... mes amis....... Musique... si douce... et qui entend ma voix.... se mélangeant à ta douce mélodie... Je t'en supplie.... Viens moi en aide....Sil-vous-plait...que me conseilles-tu?

Je garda la tête plongée face au liquide transparent puis attendit quelques temps dans cette position.

Elle qui se perdait dans cette étrange beauté implacable qu'est la lumière de l'instant, la lumière qui provenait de deux sources. La musique était l'une d'elle, mais elle n'était qu'une lumière intérieure que seul les gens pleins de passion pouvaient espérer entrevoir. L'autre lumière était disons le, plus réelle, d'origine magique encore et toujours présente, elle semblait provenir de partout, mais entre Octavia et la magie, il y avait un monde. La pauvre terrestre née de deux parents terrestres, ne comprenait rien à cette dernière, elle savait juste que les licornes la pratiquait en bien ou en mal parfois, mais expliquer une chose comme celle là à un être incapable ne serait-ce que de la ressentir, c'est une tâche bien ardue et peu de licornes en seraient elle-même capable.

Mais alors qu'elle l'écouta, elle se mit à s'exprimer d'une autre manière. Répondant à son interrogation par ce qu'elle ferait elle-même pour se sortir de ce genre de situation.

"- Puisque c'est vos amis que vous souhaitez aidez le plus... n'y a t'il pas une princesse pour cela?"

C'était aussi simple que cela, il n'y avait rien d'autre à ajouter entre les notes de musiques qui fusaient de son archet. Le tempo était plus rapide, plus excitant à entendre. Plus exotique aussi semble t-il... Peut-être que sa présence faisait faire des folies à la Terrestre, mais en tout cas, elle adorait ça, ce style parfois si étrange, même manié par la plus grande dans ce domaine.