Le manoir abandonné [Event]

(Je poste le premier message de ce rp afin de vous faire connaitre les conditions climatiques du terrain. Climat
Sur un dé a 100 faces dans la catégorie "zone froide" = 9 )

Précision sur la température
-Temps calme : Très faible vent (3 km/h).
-Froid : de -3° C en pleine journée



À vous de jouer mes petits poneys. Que la fête commence.

Elle ce tenait ici, devant ce manoir lugubre et sombre. Prête comme elle le sera toujours, armé mais surtout seule. Est-ce vraiment raisonnable de se lancer de une telle aventure seule alors que le froid est encore présent en cette fraîche journée? sans doutes que non, mais c'est un travail que quelqu'un doit faire, alors c'est pourquoi elle est présente.

Le vent y était faible, juste de quoi faire ressentir une douce brise dans sa mane d'un gris sombre. Un courant d'air délicat qui faisaient lentement onduler cette dernière, donnant un lent mouvement hypnotique qui ne faisait qu'amplifier encore son charme. Pas de neige sur le sol, pourtant c'est une température d'hiver qui faisait trembler la terrestre. Mais aussi, il y avait l'excitation qui avait le même effet, froid et coeur battant sont une bien étrange perception de la chose. Un mélange à la fois unique et terrifiant, qui vaut presque cette sensation lors que chaque concert, mais c'est toujours moins fort, c'est toutefois ce qu'il y a de mieux pour passer le temps.

C'est la première fois qu'elle partait en mission également, un événement rare, une nouveauté dans sa vie. Tout était prêt pour le grand jour, et elle même se pensait prête, nous verrons cela plus tard.

Elle marche, avance en silence, arme et armure prête, il ne lui reste plus qu'a progresser dans la structure. Le sol est glacé, encore plus que l'air dont la température était surement en-dessous du zéro. Un clapotement de ses sabots sur le sol composé de pavé de pierre sèche. Le soleil n'apporte pas la chaleur qu'elle demandait, il lui faut entrer pour éventuellement se réchauffer à l'intérieur, cela sera plus supportable pour la fragile jeune jument qu'elle est malgré l'art du combat qu'elle a assimilée.

Elle s'arrête, juste devant la porte de bois joliment détaillée. Un sabot se lève, la porte grince et s'ouvre. Elle entre, toujours en silence, se disant qu'elle doit aller, avancer encore et toujours, alors en avant!

Voici le rez-de-chaussé... La porte dont Octavia a ouvert est celle a gauche complètement. Ne sachant pas se qu'elle peut lui arriver, Plusieurs portes sont à sa disposition ainsi qu'à tous les éléments qui s'y trouve sur la carte ci-dessous.

Calme, tout est effroyablement calme ici aussi. Dehors, il n'y avait rien d'autre que le vent et c'était le seul sentiment de mouvement qu'il y avait. Ici, à l'intérieur il n'y a rien, même pas un souffle, juste cette sensation de solitude sans borne. Plus de vent, mais aussi plus de chaleur, l'endroit semble comme vide de toute vie. Pourtant il y a un ressentiment malsain derrière tout cela, qui n'est pas du à la légère hausse de température . Le bâtiment à l'air ancien, autant dans le style que dans la forme, si de froid n'est pas tout à fait entré ici, c'est qu'il doit remarquablement être isolé pour l'époque.

A l'intérieur, tout n'est que poussière et vide. L'endroit est sombre, à peine éclairé par soleil dont les rayons ont quelques mal à traverser la pièce. Tout semble si lugubre, les toiles d'araignées pendent ici et là, prenant le temps de vieillir lentement avec les saisons qui passent. Le sol est un plancher de chêne, désormais parfois teinté de vert cause de la moisissure mousseuse qui attaque le bois. Devant elle, une sculpture de bois également, représente t-elle une Manticore ou un lion? Elle est trop abîmée pour nous le montrer clairement et comme elle ne peut parler, le résultat de tout cela est évident.

Octavia avançait quelques peut, faisant doucement grincer le sol à chaque pas. Ses sabots prennent la poussière, mais à part elle, le silence reste maître, terrifiant. Elle observe, droite, gauche, sa tête tourne examinant le décors. Il y a un étrange tapis au sol, entre deux escaliers cramoisis qui peuvent éventuellement s'écouler. Il a du être magnifique à l'époque d'antan, mais désormais il ne vaut rien de plus qu'un vulgaire paillasson. Non, elle ne va pas monter ou descendre, pas tout de suite, le chemin n'est pas sûr. Elle continue donc, passant aux cotés de vieille chaise décharnées. Le tissu qui les composaient tombant et pelant au moindre contact. Une table traîne non loin, ce devait être une salle de repos et de convivialité autrefois. Dans cette salle à manger une grille est là, au sol. Couverte de planches de bois pourris, il fait si sombre de l'autre coté que l'on y distingue rien. Une porte sur la gauche, la terrestre la pousse, elle à choisit précisément ce chemin parmi les autres. Se fiant à une intuition, elle entre, la porte grinçante se refermant derrière elle en claquant à cause d'un courant d'air.

Lorsque Octavia, violoniste aventurière, referma la porte derrière elle, elle remarque la présence d'un   autre poney, étant sans armure, mais possédait une petite dague situé au pied de son lit. Le poney en question lisait un livre puis fût étonné de la présence d'Octavia. Il prit alors sa dague en se relevant et prêt à se battre. Il lâcha un grognement.

PARTEZ!!! Ou je m'occuperais de votre cas...

Il s'approchait tranquillement vers elle. Que vas faire Octavia?

Tous semblait si silencieux, si calme et esseulé que jamais Octavia n'aurait crûe trouver quelqu'un ici. Une personne qui était la face à elle, sur un lit donc les draps devaient autrefois être blanc, la poussière teintant d'un gris peu raffiné ces derniers ainsi que tout les accessoires qui lui incombait. Draps, oreiller, matelas, tout était couvert de la poudre grise en grande quantité, comme la majorité des choses ici d'ailleurs.

L'on ne discernait pas grand chose de celui qui était présent dans la pièce, cette dernière étant bien trop sombre pour cela. Mais au moins sa posture était visible, assit presque trop tranquillement sur un lit. Se relevant dès que la porte fut ouverte, s'armant d'une dague apposée au sol sale. Il parla, enfin cracha presque plutôt, des mots simples, menaçants. Il voulait le départ de la jument et le faisait amplement savoir.

Elle s'inclina respectueusement devant lui. Comme toute dame se doit de savoir le faire dans la société. Parlant à son tour en réponse de la menace.

- Monsieur, navrée de vous déranger ainsi, je pensais que ce lieu était vide. Mais que vous faites vous ici? Si ce n'est pas trop indiscret bien sûr.

Le poney colérique s’approche toujours doucement en riant légèrement face à la politesse de la demoiselle. Il pointa sa dague, étant déjà imprégnée de sang sur cette dernière, donna un coup en direction de la pauvre petite musicienne.

Héhéhé.... Comme elle est polie, cette jument.... mais..pas assez pour en savoir plus

Il dit cette phrase tout en donnant son coup. Réussira-t-elle à parer? Esquiver? ou bien, tentera-t-elle de trouver une autre solution?.

Dé:

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'Attaque' : 9

Oh du sang posé sur l'acier tranchant qui compose la dague. Son comportement est on ne peut plus fou et prévisible lorsque l'on a remarqué ce genre de détails. D'une banalité affligeante, il parle, laissant lentement la belle le temps de déterminé son prochain coup. Et elle le vit voir à des kilomètres une estocade peu recherché autant dans le style que dans l'élégance. Ce faire toucher par ça? Pas question. Octavia esquiva aussi gracieusement que possible affublée de cette armure.

Mais s'il rate, c'est une occasion en or de contre-attaque le poney bien peu galant envers une dame. Elle se place, prenant appui sur ses propres sabots avant de frapper à son tour de son arme.

- Prenez donc ceci poney de basse extraction!

Dé:

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'Attaque' : 4

Froid, faim et excitation jubilatoire, voilà ce qui faisaient trembler mon corps élancé. Des espions, de Mère, il y en avait peu parmi les poneys, mais efficace dans leur travail. Si bien efficace que j'appris rapidement qu'un des pions de l'ennemi avait reçu une mission. Un pion d'un des camps que je n'avais pas encore intégré, parfait. Mon lien avec Mère me transmettait sa joie de me voir continuer à progresser. Il me fallait continuer. Un manoir, sa mission était d'inspecter une batisse vieille. Pourquoi? Hélas, mon informateur n'était pas assez important dans la hiérarchie et à deux doigts de se faire prendre quand il m'avait prévenu. Sa carcasse devait être avec les autres tués par l'adversaire: dans une fosse. Un brin de nostalgie embauma mon cerveau, émotion de sa majesté, puis vint la haine. Payer, ils allaient le payer! Oui! LE PAYER!

Je secouais la tête, envoyant une vague mentale apaisante dans notre lien, ne t'inquiète pas, Mère. Je réussirais là où les autres ont échoué. Je les ferais tomber, tous. Ils ne tueront plus tes enfants, mes frères et soeurs. Je jetais un regard vers le chemin menant au manoir ciblé, mon déguisement était trop visible faute de neige, malgré que le climat soit idéal pour cela, j'étais donc sous ma vraie forme, mes ailes tombantes au sol, trop lourde pour que je les maintienne droite, de toute façon c'était inutile pour le moment, et puis, je serais facilement repérable...

La voilà! La jument dont m'avait parlé le changeling. Grise, de taille moyenne, elle était tout à fait banale mais un regard expert sur son corps me fit comprendre qu'elle était une guerrière. Prudence donc. Alors que j'admirais son corps entrainé au combat -serais je capable de la vaincre? Elle ferait un bon repas pour la ruche- mes boyaux se tordaient d'envie. La séduire, il me fallait la séduire, la faim se faisait de plus en plus forte, embrumant mon esprit, me pliant en deux, le souffle court, mais son regard stoppa net l'envie déraisonnable de lui bondir dessus qui me venait. Non, trop froide, trop dure, elle n'était pas une fille facile. Dommage. Mère garda son avis pour elle mais je pouvais sentir de la déception, mes frères auraient pu la faire craquer, surtout Lui. J'étais faible, trop peu entrainée dans l'art des compliments.

Je secouais la tête, chassant ma faim tentatrice de mes pensées, la jument venait d'entrer dans le batiment, il me fallait la suivre. Je me levais et trottinais doucement, relevant mes ailes trop imposante autant que je le pouvais, la suivant de loin mais pas trop. Une ombre, voilà ce que j'étais à l'intérieur, une ombre, ronronnante discrètement à cause de la température à l'intérieur, il faisait moins froid, mon corps était heureux, ma faim encore plus. Une telle tiédeur, une bonne drague, un bon baiser et il devait même y avoir un lit! Allez, ce serait le bonheur total! Je remettais ma faim à sa place loin de ma conscience, très vite agacée par ma condition, soudain, je sentis le regard de la jument changer de direction, vers ma direction. Je plaquais mes ailes contre le plancher, me servant de la statue délabrée comme cachette, j'étais assez fine pour user d'un tel stratagème. Continue d'avancer, petite, je te vois même si pour toi ce n'est pas le cas, tu es finalement amusante tu sais? Mais pas dans ce sens. L'idée de la tuer ou de la voir mourir dans un malencontreux accident vint effleurer mon esprit, je serais là, pauvre jument curieuse, voulant juste voir ce qu'il se passait ici, et là, le drame, j'irais donc prévenir son chef et hop, jackpot! Une gêneuse en moins, un camps à mes pieds! Ou alors je l'assomme et l'emmène à la ruche mais je fais croire à sa mort, tout aussi possible. Et Mère serait contente que j'apporte de la chair fraiche.

Ses pas faisaient grincer les lattes du sol, un bruit fort agaçant. Enfin, elle ouvrit une porte et entra dans la pièce, elle aurait pu descendre ou monter mais non, elle avait choisit cette pièce. Pourquoi celle ci exactement? L'énervement de Mère me fit l'effet d'un coup de sabot dans l'estomac, me coupant le souffle, bruit camouflé par le grincement de la porte se refermant. Qu'importe les choix de la jument, j'étais là pour observer, espionner, manipuler, tuer, point barre. Je soupirais, m'excusant mentalement avant de bondir, ailes étendues, planant au dessus du plancher fragile et grinçant, atterrissant en douceur là où était le poney il y a quelques secondes, puis je me transformais, devenant une licorne immaculée à la mane verte parsemée de fleurs blanches. Si elle revenait sur ses pas, je jouerais mon role de petite curieuse inattendue, ça ne serait pas trop difficile à faire je pense. Soudain, des cris retentirent, des menaces, puis une voix féminine, ma cible. Qui était l'autre? Aucune idée, le résident des lieux sans doute. Je collais mon oreille contre le battant, attentive au... combat, oui c'était bien ça, au combat qui se déroulait dans la pièce. Ca arrangeait mes affaires, si elle se faisait tuer par un autre, je pourrais le dénoncer au chef de la jument et ainsi rafler la gloire d'avoir survécu pour les prévenir du danger.

Après avoir raté son coup, la porte se fit ouvrir derriere elle et se trouvait une magnifique licorne de pelage blanc et d'une crinière verte.

(Tout les joueurs se trouve dans cette pièce. )

L'ennemi regarde droit dans les yeux d'Octavia, d'un coup de rage, sachant qu'il avait manquer le premier coup, lui donna un autre coup de dague.

Dé:

Carte:

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'Attaque' : 18

(Ayant réussi le coup, l'ennemi fit un sourire)

Dé:

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'Dégats 1d4' : 2

Une grimace de douleur, c'est tout ce qui parvient à sortir d'elle en cet instant précis. Elle avait été assez naïve pour laisser son attention se détourner une fraction de seconde lorsque la porte s'était ouverte dans son dos. Croyant à un autre ennemi, son regard c'était porté un instant derrière elle, juste le temps d'apercevoir un éclair blanc trop flou pour y remarquer quoique ce soit. Cela avait juste la forme d'un poney, ce tout ce qu'elle pu noter durant ce minuscule laps de temps.

Lorsqu'elle se retourna, un coup lui vient, impossible à éviter dans cette posture précaire. L'acier fusa, l'acier tranchant, le sang coule sur le sol par gouttelette et la douleur ce fait lacérante... franche et directe. Un crissement de douleur se fait sentir lorsque les dents claquèrent entre elles violemment pour expier la déchirure de la chair.

Octavia ne réfléchie pas quand à la suite des événements, si celui ou celle qui venait d'arrivé était un ennemi, alors elle ne devait pas perdre de temps et se montrer encore plus agressive face à son premier adversaire. Attaquant du force redoublée pour détruire rapidement ce premier adversaire pour enchaîner avec l'éventuel suivant.

Dé:

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'Attaque' : 16

Au tour d'Octavia de toucher sa cible cette fois.

Dé:

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'Dégats 1d6' : 5

Je reculais d'un pas en voyant la porte s'ouvrir, du moins c'est ce que j'aurais fait si les battants n'étaient pas tournés vers l'extérieur. L'un des coins de la surface en bois tapa contre ma corne et ma tempe, me sonnant sur le coup, me faisant reculer et taper dans l'une des chaises entourant la tale derrière moi. Inattentive, une erreur que je n'aurais pas du commettre, il me fallait être plus vigilante. Heureusement que j'avais pensé à mettre mon déguisement, j'aurais été maline si les deux combattants avaient vu ma vraie forme...

Une odeur de sang me chatouilla les narines, la belle était blessée, intéressant. Un élément stratégique à garder pour la suite si je me décidais à l'éliminer, ou à jouer les exploratrices sans peur. Son adversaire était un poney comme elle, armé d'une dague, un adversaire qui semblait lui donner du mal dans ce combat qui ressemblait vaguement au jeu du chat et la souris. "Je vais t'attraper, à ton tour maintenant! Oh mince, tu m'as touché!"... Pathétique. Etais ce vraiment une guerrière? Je commençais à douter... Mais il ne fallait pas aller trop vite. L'autre poney semblait assez excentrique pour tuer quiconque se trouve sur sa route, mieux valait attendre qu'il achève l'autre pour s'en occuper, ou alors qu'elle le tue pour la faire disparaitre à son tour, ou jouer les bonnes pouliches curieuses un peu paumées par l'endroit. La dernière option valait peut-être le coup. Je regardais donc le combat, plus attentive que la dernière fois cependant, pas question de me prendre un coup de lame dans le corps alors que j'étais là pour faire l'inverse...

Après avoir reçu le coup, il se mit à crier de douleur. D'une telle frayeur, il se mit à reculer vers la fenêtre puis resta proche de cette dernière. Il se mit à rire pendant qu'il perd un peu peu de sang, coulant sur le bois pourri.

ahahah Vous ne trouverez jamais la cause de votre venu... *se mit à rire*

(Sur ce tour-ci, il ne vous attaque pas. Il ignore Viridi car elle ne lui pose aucun mal.)

Est-ce donc tout ce que lui souhaitait, s'éteindre ainsi seul et sans même ne serait-ce que combattre un peu? C'est tout simplement quelque chose d'on ne peut plus pitoyable, ce n'est pas à quoi la belle s'attendait pour un premier combat. Éventuellement cela aurait du être un poil plus épique, c'est du moins ce qu'elle aurait voulue. Mais désormais devant ce terrestre elle ne voulait plus qu'une chose en finir vite avec cette mission. Si ils étaient tous comme cela à baisser la queue dès qu'ils sentent la défaite proche, et bien ils sont misérables.

Si il recule... elle avance, empiétant toujours plus son espace vital. D'un coup il dévoile sa faiblesse, ce n'est qu'un petit être insignifiant parmi tant d'autre en fin de compte. Octavia n'a plus envie de rien, juste peut-être se débarrasser de lui pour plus vite voir avec l'autre. Elle s'approche lentement, armée toujours mais sans se montrer menaçante. Un seul coup, c'est ce qu'elle va tenter pour éviter de le faire souffrir, c'est la seule chose qu'elle puisse faire malgré l'amertume dans les paroles de l'autres.

Dé:

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'Attaque' : 14

Encore un succès, avec de la chance elle pourra s'occuper de l'autre de suite.

Dé:

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'Dégats 1d6' : 3